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Je m’appelle stephanie slivinski, j’ai 49 ans, en couple depuis 20 ans et deux enfants de 11 et 22 ans. J’ai été élevée par ma grand mère qui était une femme forte et qui connaissait encore toute cette médecine naturelle, et je dis encore et non pas déjà, car comme elle me le répétait souvent « c’est comme ça que l’on se soignait quand j’étais enfant et comme ça que j’ai toujours soigné mes propres enfants ». J’ai connu les bouillons quand on avait un rhume, les cataplasmes de lin et de moutarde sur le torse quand on avait une bronchite, le jeune de 24 heures pour nettoyer notre organisme, les tisanes aux thym et citron quand on était barbouillé et même le clou de girofle pour les douleurs dentaires, etc… j’ai de très bons souvenirs de cette époque et j’ai naturellement gardé ces habitudes avec mes enfants. Après le bac, à la volonté de mes parents j’ai tenté la première année de médecine, cela les rendait fiers mais malheureusement à l’époque j’ai vite compris que ces études ne me convenaient pas. J’ai toujours été mal à l’aise avec le sang, la souffrance, la maladie et le reflet que cela me renvoyait. On ne parlait que de maladie mais pas de santé, de douleurs mais pas de bien être, et puis je pense qu’arrivée au bout de cette première année avant même d’avoir la moindre idée que l’on pouvait soigner et peut être éviter ces maladies, j’étais confrontée à cette question: pourquoi ? Pourquoi est on malade ? Pourquoi a t on un cancer, une cirrhose, de l’eczéma, de la dépression etc …. On le soigne mais d’ou cela vient ? on ne vous l’expliquait pas vraiment. Après cette première année, j’ai décidé de partir aux états unis, j’y ai trouvé très vite un emploi dans un salon d’esthétique et de massage et j’ai eu l’opportunité d’intégrer une école d’hydrothérapeute. Ça a été une révélation pour moi, m’occuper des clients en les massant, en les aidant à retrouver leur autonomie selon les pathologies et leur apporter ce bien être, c’était fantastique. Revenue en France, j’ai d’abord travaillé pour de grandes structures comme Yves rocher, Algotherm, Luxor Spa France et ensuite j’ai collaboré avec le centre de médecine esthétique d’Avignon grâce à ma formation d’hydrothérapeute. Mais cela ne me convenait plus, c’était pour moi tellement superficiel. Il y avait déjà un grand mal-être chez la majorité de leurs patients, et de l’incompréhension. Les uns avaient des douleurs chroniques que l’on soulageait sans traiter les causes, et d’autre pour de l’esthétique pure à la recherche d’un mieux être physique… n’était ce pas plutôt un soucis de recherche de mieux être mental ? Je me posais déjà beaucoup de questions à l’époque et je sentais que mon approche était limitée tant dans ce que je pouvais apporter pour les soulager que ldans la compréhension de toutes ces souffrances physiques et mentales. Il y a 12 ans j’ai arrêté cette activité quand je suis tombée enceinte de mon deuxième enfants. Après sa naissance, nous avons tout quitter pour nous installer sur Severac Le chateau où mon conjoint s’est installé comme ferronnier puis nous avons acheté notre nid douillet. Quand mon fils a eu un an, j’ai ressenti le besoin d’être à nouveau en contact avec de la clientèle et apporter mon savoir faire. J’ai donc monté un centre d’esthétique et de bien être. J’ai pratiqué l’hydrothérapie, l’esthétique et le massage bien être. Mais voila, même si mon activité était prospère et même si j’appréciais de nouveau le contact avec une nouvelle clientèle, même dans le bien être j’étais limitée avec l’aide que je pouvais apporter. Des douleurs chroniques, des pathologies incomprises, des mal-êtres psychologiques et physiques et aussi et surtout énormément de stress que je n’arrivais pas à atténuer même avec des massages et des soins détentes. Il fallait que je trouve le moyen de m’épanouir dans mon activité. Je vendais mon entreprise pour réfléchir. Qu’est ce qui pouvait m’apporter des réponses ? Qu’est ce qu’il me manquait comme connaissance pour les trouver ? La naturopathie est ressortie comme une évidence ! De la nutrition d accord, de l’anatomie ok, mais aussi de la réflexologie, de la sophrologie, mais oui c’est évident : nous apprenons à étudier des cas, analyser leurs maux pour en comprendre les causes et les aider à améliorer leur santé globale. Je suis donc retourner sur les bancs de l'école pour étudier la naturopathie mais aussi donc la réflexologie, la micronutrition, la gestion du stress, l'aromathérapie, la phytothérapie, et je continues d'étudier encore et encore tout ce qui se rapproche à la médecine holistique. Maintenant installée, je suis heureuse de pouvoir apporter mon expérience et mes compétences auprès de chaque personne qui me fait confiance.

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